Enquête dans l'obscurité. (PV:Jack Daniels)

Il faisait noir, une odeur de merde envahissait la pièce et une chaleur digne d’un climat tropical, chaude et humide. Victor était là, peinture au visage, couteau tenu fermement entre les doigts de sa main gauche. Quelque minutes de patience et un homme entre dans la pièce. Un homme trop bien vêtu pour vivre dans une telle porcherie. L’homme devait mourir des mains de Victor, c’était ce que le contrat disait. L’homme n’était pas un enfant de cœur, une guerre se préparait à cause de cet homme, ce dictateur de merde. L’interrupteur est défectueux, donc il restera dans le noir encore pour quelque minute. L’homme avance jusqu’au bureau et s’assoie, il se penche vers la droite pour prendre la bouteille de whisky dans le dernier tiroir. Au même moment, Victor pénètre sa lame dans le cou de l’homme, traverse la gorge et tranche la jugulaire, le sang gicle et gicle et… BIP-BIP… BIP-BIP…

Jack se lèva, il n’était plus Victor l’agent de la CIA mais bien Jack Daniels, détective pour la police de Gotham City. Il décrocha le téléphone qui vient perturber son «rêve», et il quitte Jack Daniels pour redevenir…

-Agent K., debout, top chrono, je vous laisse cinq minutes pour descendre. Voiture noir, Mercedes. Dit une voix féminine assez sèchement.

En cinq minute il était habillé et près pour la rencontre. Il descendit, ouvrit sa porte d’entré et se dirigea vers la Mercedes. Il y entra et vit une femme sérieuse.

-Madame, quelle est ma mission?

Elle lui donna un dossier.

-Agent K., votre mission consiste à railler de la carte monsieur Jason Folco Kurt, 38 ans, ex-agent pour le FBI, criminel de renom et bras droit du criminel que l’on surnomme le Joker. Nous l’avons repéré il y a 67 minutes précisément, près des quais de Gotham. Dit-elle de mémoire.

-Tiens, ce ne sera pas la première fois qu’un type dont les initiales sont JFK, sera assassiné. Dit-il avec un sourire.

Victor garda la photo et redonna le document à la femme, qui était dans la trentaine. Il quitta la voiture, en moins de deux la voiture était partit. Il entra chez lui et prit un petit déjeuner, qui peut tuer le ventre vide? Puis il prit une douche et mit son costume trois pièce, il n’était pas pour mettre son costume de commando, ce qui serait une grande perte de temps étend donné que le boulot allait être fait en un instant. Il prit une grosse valise et quitta sa maison.

Rendu là, il avait stationné sa Mustang à trois coins de rue de l’endroit tactique. L’endroit tactique était un immeuble abandonné. Tous ces éléments transformaient ce boulot compliqué en vrai jeu d’enfant. Il monta sur le toit et déposa sa valise. Il l’ouvrit et commença à assembler son fusil de précision. Après trente-sept seconde le fusil était assemblé, il ne restait que le silencieux à visser. Il regarda dans la lunette, et vit belle et bien sa cible, le champ était libre et il était près d’un point clair. Victor vissa le silencieux, mais pas n’importe quel silencieux. Un silencieux capable d’étouffer le moindre son. Il glissa la balle, chargea, et visa. Son index frôlait la détente du fusil. Dès que la cible était à nouveau libre, elle tomba. Une seule balle dans la tête, personne ne peux survivre à ça.

Victor prit la douille encore bouillante la mit dans un compartiment de la valise et désassembla son arme. Lorsqu’il était temps de quitter, il tomba face à face avec le justicier de Gotham. Batman. Il recula d’un pas.

-Bon soir Batman… Bon, ce fut un plaisir de discuter avec vous, mais vous allez devoir m’excuser, je suis attendu ailleurs. Dit-il en essayant de détourner le justicier.

-Je ne fuis pas, je quitte… Il y a une petite nuance. Dit-il sûr de lui et en gardant son calme.

Il vint pour faire un pas, mais Batman était toujours dans son chemin.

-Vous êtes dans mon chemin pourriez-vous, vous déplacer s’il-vous-plait? J’ai autre chose à faire que m’attarder à des bizarroïdes en costumes… Je trouve que c’est bien ce que tu fais mais… Le costume de chauve-souris… C’est comme qui dirait, de trop.


HJ : J’ai un ami qui aimerais revenir sur le forum depuis que je lui ai dit que tu y étais, un vilain qui aimerais te donner du fil a retorde. Quand dis-tu? Il se nomme Deadpool.

Batman le regarda calmement et il répliqua ensuite:

-Bizarroïdes? Alors votre chère amie Catwoman est une bizarroïde elle aussi? Je vous aie vue tout les deux l'autre soir et vous semblez très près d'elle. Alors si vous ne répondez pas à mes questions, je vais lui glisser un mot en disant que son cher ami la trouve bizzaroïde.

Il lui bloqua toujours le chemin et il dit:

-Pourquoi tu as tué cet homme?

HJ: Je serais ravis de lui faire face!!! ^^

Victor commençait sérieusement à trouver ce justicier de plus en plus énervant. Mais il l’avait vu le descendre, donc s’il respectait les règlements, il allait devoir le tuer. À moins qu’il le laisse partir.

-Ce n’est pas une affaire dans laquelle tu peux mettre ton nez. S’il-te-plait, laisse moi partir simplement, car je vois bien que tu fais de bonnes choses pour Gotham et ça serait dommage que tu prennes ta retraite si tôt. Le message est clair, si tu ne me laisse pas partir, je vais être dans l’obligation de t’éliminer aussi. La balle est dans ton camp, pense bien à ce que tu vas faire. Dit-il calmement.



HJ : C’est bon je lui dirai.

Batman serra les poingts, il détestait ce faire cacher des affaires, mais les menaces de mort, était prit au sérieux et il dit:

-Bien puisque vous me laissez pas le choix.

Il laissa le passage à Daniels, mais il se mit à le suivre dans l'ombre, il était louche et il devait savoir pourquoi.

Batman le suivait de toit en toit tout en restant dans le noir total.

*Que cache tu!* se dit-il.



HJ: Parfait.

Jack roulait à une vitesse plus qu’acceptable. Il ne fuyait personne et personne ne le poursuivait. Arrêté à un feu rouge, il baissa sa fenêtre et ajusta le rétroviseur. Au même moment, il vit un ombre sauter d’un toit à un autre. Est-ce que Batman voudrait se faire descendre aujourd’hui!

-S’il-te-plait cesse de me suivre! Les ordres sont les ordres! Un témoin, éliminez le! C’est pourtant pas si compliqué à comprendre. Pauvre lui. Faut exécuter les ordres… Dit-il en tournant, alors qu’il était supposé continuer tout droit.

Il n’alla pas rentrer chez lui et se faire prendre. Pas comme un amateur, oh non! Il allait devoir donner du fil à retordre à se cher Batman. Dommage mais s’il voulait jouer à ça, après les messages qu’il lui avait donné. Jack continua sa route. Il regarda dans son rétroviseur, Batman le suivait toujours. C’était triste pour le justicier, il avait sauvé tant de gens. Fallait avouer qu’éliminer Batman n’allait pas être de tout repos. Tout en conduisant, il releva le siège passager (Une demande que la CIA avait bien accepter de faire, modifier un peu la voiture de ce cher Jack). Au feu rouge, il sortit un MP5 qui peu répondre aussi au nom de Uzi. Le chargea et prit deux chargeur en plus. Le feu rouge passa au vert. Cette fois en conduisant, il sortit un second 9mm. Puis il rabattu le siège. Il s’arrêta encore une fois au feu de signalisation et ouvrit sa boite à gants. Il en expulsa son revolver fétiche, son Colt Anaconda.

-Je ne souhaite pas ta mort, mais je ne veux pas la mienne non plus!

Jack était entré dans une zone clôturé, un vieil entrepôt désinfecté. Plus personne y allait depuis belle lurette. Dans l’entrepôt, il descendit de sa Mustang, lourdement armé, ferma les portes d’où il venait d’entrer et alla se réfugier près d’une machine rouillée.

-Faites qu’il ne rentre pas, faites qu’il ne rentre pas, faites qu’il ne rentre pas. Dit-il tout bas.