Une heure du matin et Deadpool était toujours dans le bar «My Alibi». Le bar «My Alibi» tout un spectacle fallait dire, des gros dures, des prostituées qui manquaient de subtilité, de la bière pas si mal sauf si tu demandais la spécialité, dans ce cas là, il te servait une bière signé «Mexico», c'est-à-dire une bière dilué avec l’urine du barman. C’est dégoutant mais c’est comme cela qu’ils repéraient les taupes. Lorsque tu étais connu dans le domaine de la criminalité, tu avais certain privilèges que d’autre avait pas, du respect! Et lorsque quelqu’un ne te respectait pas, soit un type lui éclatait la gueule pour toi ou c’était toi qui éclatais la gueule aux deux! Un parce qu’il t’a manqué de respect et l’autre parce qu’il croyait que tu n’étais pas en état pour te battre. Au «My Alibi», tu te bats! Si tu étais venu pour juste consommer, t’avais qu’a aller ailleurs! C’était rendu que les flics ne perdaient même plus leurs temps à faire des descentes au «My Alibi», ils aimaient mieux ramasser le cadavre de la soirée et railler son nom de la liste des types recherchés. Gotham City est une belle ville, mais faut juste éviter certain endroit comme ce bar.
Bref Deadpool était dans ce bar qui était un peu plus calme qu’a l’habitude. Après deux gros bocks de bière, un homme l’approcha. Trench-coat sur le dos, chapeau sur la tête, un type pas net à première vu. Il s’assit face à Deadpool et déposa une valise sur la table. L’homme l’ouvrit pour révéler son contenu, des billets verts! Des centaines et des centaines de billets verts!
-J’ai une mission pour vous. Aller faire du grabuge dans les bureaux de Wayne Industries se soir et l’argent sera à vous. L’entièreté de l’argent! Car ceci n’est qu’une vulgaire partie du montant. Bref, vous n’avez même pas de plan ou de but précis, vous devez seulement entrer sans déclencher d’alarme et mettre le bordel à votre façon. Qu’est-ce que vous en dites? Dit-il, caché dans l’ombre.
-Marché conclu! Avez-vous un bureau plus précisément ou encore un étage précis que vous voulez que je démolisse? Demanda Deadpool qui tira la mallette vers lui.
-Si vous atteignez l’étage supérieur, rendez-vous dans le bureau de M. Wayne et détruisez des documents ou des choses comme ça. Je veux seulement ralentir leurs actions afin que mes actions prennent les devants du marché.
-Comme vous voulez, donc je dois faire sauter le building!?
-Non! Pour l’amour de Dieu non! Juste faire en sorte de les ralentir dans leurs actions, je crois que vous serez capable de faire cela, car si vous ne voulez pas, je suis sûr qu’il y a quelqu’un d’autre dans ce bar qui est pas si mal dans la destruction.
-Attendez, je pense que vous ne comprenez pas, je suis le meilleurs employé que vous pouvez avoir dans se bar. Et la destruction, c’est comme une seconde nature chez moi, ne vous en faites pas, il va être ralentit à souhait!
-Je vous laisse ma carte, recontactez moi demain à midi pile et je vous donnerai le reste de l’argent si le boulot a bien été fait. Ah oui, et suivez moi.
Deadpool suivit l’homme jusqu’à la ruelle. Ce fut là qu’il ouvrit le coffre de sa voiture pour en sortir quelques joujoux.
-Tenez, vous n’aurez même pas besoin de retourner chez vous pour chercher votre équipement.
L’homme quitta avec sa voiture, laissant Deadpool là, armé, et dangereux. La question est plus : «Quand Deadpool n’est pas dangereux?».
Deux heures trente-trois, et Wade était devant le building.
-Ok! Ça va être un jeu d’enfant!
Deadpool prit le gros sac qu’il avait sur le dos, le déposa et l’ouvrit. Il y en extirpa un gros canon. Il se plaça comme il le fallait et tira. Un genre de crochet fut expulser du canon et fracassa une vitre. Par chance à cette hauteur le système d’alarme ne valait habituellement rien. Car quel fou entrerait dans un tel building avec un tel équipement pour faire un tel travail? Deadpool! Il grippa à la corde jusque là. À l’intérieur, le plaisir commença! Il avait carte blanche selon son employeur. Donc du plaisir, il y en avait à se faire. Mais avant tout! Wade alla dans la salle à café se faire un bon café. Il voulait être en forme à une heure pareille. Il coup le café prêt il se servit dans une tasse rose écrit «I LOVE MOM» que c’était chou! Mais la mission principale avant tous! Il réussit à monter et à se rendre au bureau de M. Wayne! Rendu là, son plaisir commença! Il commença par forcer les classeurs prendre les dossiers, lire les grandes lignes puis les réunir tous sur tas de feuille. Par la suite il prit un petit contenant d’essence et en versa quelques gouttes par-ci par-là. Mais lorsqu’il vint pour mettre le feu, un batarang se planta dans le mur, à quelque millimètre de son visage.
-Oh-oh, on dirait qu’on a un participant à notre nouveau jeu télévisé : On met le feu aux poudres! Dit-il avec une voix de présentateur télé.